5
janvier
1828.
Les
diverses
propriétés
que
nous
avons
reconnues
au
1
semblent
le
rapprocher
de
la
lumière
avec
laquelle
il
a
effectivement
de
grands
rapports ;
mais
elles
ne
sont
pas
suffisantes
pour
donner
une
idée
exacte
de
sa
vraie
nature.
On
sait
seulement
:
1.
qu'un
corps
échauffé
peut
communiquer
sa
chaleur
à
distance
à
un
autre
corps,
et
cela
ne
pouvant
se
faire
que
par
un
intermédiaire
quelconque,
nous
concevons
que
le
corps
chaud
lance
autour
de
lui
quelque
chose
qui
est
la
cause
de
la
chaleur
et
que
nous
avons
désigné
par
le
nom
de
1.
2.
que
le
1
se
réflechit.
3.
que
son
mouvement
n'est
point
altéré
par
celui
de
l'air.
4.
qu'il
n'en
est
pas
absorbé
sensiblement.
5.
qu'il
se
transmet
instantanément.
6.
qu'il
n'est
pas
pesant.
7.
qu'il
n'est
point
coercible.
De
là,
2
hypothèses
sur
la
nature
du
calorique.
1.
corps
particulier,
ou
pour
mieux
dire,
fluide
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